Construit en 1910 à la fin de la Belle Époque, dans un domaine de plusieurs hectares boisés, le Vidago Palace ***** connaît immédiatement un énorme succès auprès du gotha portugais. Il devient alors un endroit incontournable qui représente avec faste et grandiloquence, l’emblème d’un certain art de vivre, très prisé de l’aristocratie européenne de ce début de siècle. Plus de cent ans se sont écoulés et sa réputation n’a rien perdu de sa superbe. Au contraire.
Aujourd’hui, cette adresse historique a trouvé un second souffle, et revient sur le devant de la scène hôtelière avec des critères de confort et de luxe proches de la perfection absolue, sans pour autant sacrifier son patrimoine architectural et son identité originelle. Parquet, hautes boiseries, tapis tissés à la main, sols en mosaïque claire, matériaux nobles, mobilier cossu (réédité ou sur-mesure), pléthore d’étoffes, papiers peints en soie, luminaires subtilement choisis et un savoureux panel de tons chauds rendent l’ambiance unique.
Un univers à l’image d’une grande maison familiale, où se dégage une âme particulière liée intimement à l’histoire des lieux. Les chambres se déclinent en vert amande, bleu pâle, capuccino et arborent une décoration néo-classique. Tête de lit capitonnée, chevets laqués, bureau en bois de rose… Des détails qui signent la différence. Une atmosphère, délicieusement cosy, un brin british, flotte dans les airs. Dehors, le parc déploie toute sa majesté. Ses allées, ses sentiers, ses bassins, ses fontaines incitent à la douce rêverie. Ses arbres majestueux, puissants et séculaires ne laissent pas indifférent. Difficile de ne pas s’extasier devant la beauté des Séquoias sempervirens et de rester de marbre devant les Magnolias grandifloras. Dame Nature règne… Telle une reine.
Une exquise piscine extérieure, un magnifique spa réalisé par le célèbre architecte Alvaro Siza Vieira, un scintillant parcours 18 trous et une surprenante gastronomie viennent parfaire le tableau.
Au Vidago Palace *****, l’Art de vivre se conjugue à l’infini. Qu’en pensez-vous ?