Finikas Luxury Hotel ★★★★

Bienvenus sur la plus grande île des Cyclades... Ici, le ciel bleu est au beau fixe, les eaux turquoise et le sable d’un blanc immaculé.

Le cadre de l’hôtel est encore plus beau que je ne l’avais imaginé : situé à quelques mètres de la plage ensoleillée d’Alyko, le Finikas Luxury Hotel **** surplombe la baie d’Agali. Un vrai paradis caché au milieu d’un jardin de 4000 mètres carrés. L’architecture extérieure, blanche et traditionnelle, s’intègre parfaitement dans le paysage de collines de sable blanc et de forêt de cèdres des environs. Nous sommes bien loin des sentiers battus de la Grèce touristique. Dès notre arrivée, le personnel est aux petits soins : Dimitrios, le directeur de l'hôtel, nous donne d'excellents conseils pour visiter les merveilles de l’île. Un verre de bienvenue nous est offert sur la terrasse extérieure où l’on découvre la piscine et ce cadre luxueux.

En passant la porte de notre chambre, la première chose que nous remarquons est la vue imprenable sur la mer que nous offre notre terrasse privée. La décoration est raffinée et luxueuse, dans l’esthétique des Cyclades, et dispose de tout le confort nécessaire pour notre séjour. Mon mari abandonné à la salle de sport privée des lieux, je décide de me diriger en toute tranquillité au centre de bien-être. À moi sauna, hammam, bain à remous et hydro-massages…  Complètement relaxée, je profite à présent de la piscine d’eau salée,  pour finir de faire peau neuve, avant de rejoindre mon mari au bar de la piscine et siroter un cocktail devant le sublime coucher du soleil.

Le soir venu, dans un cadre fantastique, nous goûtons aux délicieuses spécialités locales. Le chef nous confie une astuce pour le lendemain : commander un panier pique-nique pour profiter de ses recettes depuis la plage. Donc, dès le lendemain nous nous rendons sur la plage D’Aghios Georgios, au sud de Naxos. L’eau y est limpide et profonde. Nous profitons de notre venue au cœur de la ville de Chora pour en découvrir les vestiges archéologiques de son riche passé.

C’est à la fin de notre séjour paradisiaque, que l’on pense aux lignes de l’écrivain Nikos Kazantzákis : « Fendre cette mer-là en murmurant le nom de chaque île, je crois qu'il n'est pas de joie qui, davantage, plonge le cœur de l'homme dans le Paradis. Nulle part ailleurs on ne passe aussi sereinement ni plus aisément de la réalité au rêve ».